Madame Jacqueline Huet, sa compagne,
et ses amis proches,
ont la tristesse de vous faire part du décès de
Monsieur Howard Buten,
Ecrivain, alias le clown Buffo, Chevalier de l’Ordre des Arts
et des Lettres, docteur en psychologie clinique,
fondateur de l’Institution Adam Shelton, IME spécialisée
dans l’accompagnement de l’autisme, président d’honneur
de l’Association Turbulences ! et premier parrain du journal
« Le Papotin »
Survenu le 3 janvier 2025 à Plomodiern
Et tiennent à remercier son accompagnant et soignant,
Monsieur Olivier Sasportes, grâce à qui, au cours de ces douze
dernières années, une exceptionnelle relation s’est tissée
entre eux, faite de respect, de partage et d’amitié.
Les obsèques auront lieu dans l’intimité
Un hommage lui sera rendu par la suite à Paris
merci Buffo
( chère compagne d’Howard, y aura t’il un avis concernant l’hommage qui lui sera rendu , merci)
Merci pour votre oeuvre, votre combat, quand j’avais cinq ans je m’ai tué a bousculé ma vie. J’ai eu la chance de vous rencontrer pour une dédicace et de voir un spectacle de Buffo. Vous étiez un homme comme il en faudrait plus. Encore merci.
Une admiratrice
J’ai appris avec une tristesse profonde le décès d’Howard Buten.
Je suis violoncelliste professionnelle mais je fais aussi du théâtre, des marionnettes, du clown et des masques parce que ça me passionne.
Le »quand j’avais cinq ans » est un des livres favoris. La recherche de la compréhension des enfants est un enjeu crucial pour moi de par mon histoire personnelle, et ce livre a été un des premiers où j’ai compris que je n’étais pas seule dans cette quête (J’ai eu une enfance dans une secte, la manipulation des enfants est leur base pour s’assurer une continuité et une obéissance sans faille de leurs sujets).
Puis il y a eu Buffo.
Et le travail avec Claire Oppert.
Les croisements avec ma vie sont tellement nombreux que j’en oublie.
J’ai appris le décès d’Howard Buten alors que je travaillais sur une marionnette. Ce pantin est fort aimé, il est expressif, c’est une marionnette à fil, son tempérament est la curiosité mêlée de doutes et de ténacité. Il trouve l’indépendance dans une libération de la pesanteur. Il est seul en scène. J’aimerais lui donner le prénom Howard.
J’espère que vous ne mettrez pas de véto à cela ; c’est un hommage à un grand monsieur que je souhaite faire à mon niveau.
Je vous adresse mes sincères condoléances, ma tristesse est réelle, je n’ose imaginer la vôtre.
Respectueusement,
Jocelyne Cousyn, professeur de violoncelle au conservatoire de Noisiel (77).